Il s’agit d’un endroit où vous pouvez vous reposer quelques instants en payant une certaine somme. C’est un concept qui a vu ses jours au Japon et qui commence maintenant à s’étendre jusqu’en France. Ces nouveaux endroits disent pouvoir créer des bulles de respiration favorables à la santé physique et mentale.
L’importance de faire une sieste et de se détendre
Vous avez la possibilité de choisir entre la sieste flash, pour une durée de 15 minutes, ou encore la sieste royale, pour une durée de 45 minutes. Les prix vont de 6 à 27 euros, selon vos besoins. Et même, il y a certains bars qui proposent des soins et massages pour se détendre.
Malgré les bienfaits de la sieste, elle reste toujours mal vue par les occidentaux. En effet, au travail, elle a une mauvaise réputation et la majorité des sociétés pensent que c’est un frein à la performance.
Les statistiques montrent que 20 à 30% de la population française ont moins de 6h de sommeil, ce qui permet au bar à sieste de se répandre de plus en plus en France, comme à Paris, Lyon ou Nantes. Le bar à sieste offre à sa clientèle des hamacs et des sièges massant, tout en leur aidant à s’endormir rapidement pour avoir le plaisir de dormir et de ne rien faire.
Savoir faire reposer son cerveau
Avec la technologie de nos jours, des chercheurs de l’Inserm affirment que l’on a besoin de se digital-detoxer. Notre cerveau n’est pas capable de traiter deux tâches simultanément quel que soit notre sexe. Et quand on essaie de le faire, on bascule rapidement d’une tâche à une autre. Or, ce va-et-vient est un signe que l’on perd de la performance dans l’exécution de chacune des tâches. Le cerveau consomme le plus d’énergie est la plus utilisée, ce qui peut provoquer une grande fatigue.
Quand on a du temps libre, on a cette tendance à toujours toucher à notre téléphone. Or, occuper constamment le champ de notre esprit n’est pas vraiment une bonne chose. En effet, sur le plan psychologique, ne pas avoir de temps libre pourrait causer de l’insatisfaction et une incapacité à être heureux, selon Christophe André, un spécialiste et un psychiatre du bonheur
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