Le premier Grand Prix du F1 a remis le contact en Mars dernier en Australie. L’américain Liberty Media a promis des spectacles plus grandioses, attractifs avec des bolides plus puissants. Liberty Media possède les droits commerciaux du F1 et promis une nouvelle ère pour
Liberty Media vers la révolution du F1
D’abord, la révolution voulue par Liberty Media vise à faire baisser les rois. La prise de la direction de la F1 par Liberty Media a été annoncée le mois de septembre 2016 et a été finalisée le mois de janvier 2017. Ce nouveau départ qui a été promis par le PDG de Formula One Group se résume en « plus de courses, plus de transparence, plus de spectacle ».
Les essais en Barcelone ont déjà satisfait les fans de F1. Mais il faut attendre l’expiration des Accords Concorde pour voir la reforme du format des courses et la répartition sur les revenus. Cet accord régit le fonctionnement financier et sportif de la F1 jusqu’à l’an 2020.
Des bolides plus performants
Du côté de la réglementation technique, l’objectif est d’améliorer les performances. Aussi, redonner un coup de pouce à la discipline qui a perdu de sa notoriété depuis quelques années. Les toutes nouvelles monoplaces plus basses et plus larges assurent un gain au tour de 4 à 5 secondes. Les essais en Barcelone, avec les pilotes comme Massa, Hamilton, Räikkönen, Bottas, Vettel, … l’ont bien prouvé.
Et enfin, pour les roues, elles sont plus larges et sont moins sensibles à l’usure ce qui signifie qu’il y aura moins d’arrêt aux stands et plus d’actions sur la piste. Selon les pilotes, ces nouveaux bolides sont moins faciles à dompter, ce qui ne fait qu’ajouter du fun au spectacle. En plus de cela, le système de jetons qui posait une limite sur les révisions offertes ont été revu à une plus accommodante, quatre moteurs par saison par pilote.